Depuis l’avènement du coronavirus au Cameroun en mars 2020 et l’érection des mesures dites restrictives prises par le gouvernement pour freiner la propagation de la pandémie, les chauffeurs de taxis, clandos et autres moyens de transport de personnes à usage commercial se taillent la part du lion. Une pratique quij perdure au nez et à la barbe de Brice Paillat, ministre en charge des Transports et au grand dame des populations dont le pouvoir d’achat a pourtant considérablement chuté.
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